Le froid du Tibet descendu sur le Bosc.

Ils furent une cinquantaine fascinés par les images des montagnes et plateau tibétains, captivés par la narration de Sylvain Tesson, subjugués par le savoir attendre de Vincent Munier. Le suspens de la quète, grace au chat de Pallas, a été ponctué d’images insolites et dignes d’un Buster Keaton. Les yacks sauvages de ces plateaux du Mongol nous ont terrassé par leur impérieuse force et majestueuse sérénité. Tout ce bestiaire si lointain et malgré tout si fragile est descendu avec sa magie rafraîchir quelques instants l’écran du Bosc.